Le film « Paris je
t’aime » raconte dix-huit histoires sur le thème de l’amour. Il y a trois
histoires qui m’ont particulièrement impressionnées.
La première histoire se passe à
Montmartre. Un homme était triste. Il n’était pas content de sa vie et se
plaignait de ce dont il souffrait. Tous les passants étaient en couple sauf
lui. Il restait dans sa voiture désespérément. Jusqu’au moment où une femme est
passée près de sa voiture, mais quelques secondes après, elle n’a pas réapparu.
Il est descendu de sa voiture et il a découvert que la femme était tombée par
terre. Il l’a aidée et ils sont tombés amoureux.
La deuxième histoire se passe
dans un atelier de peintre. Il y avait un homme qui a eu le coup de foudre pour
un autre homme. Il lui a exprimé tout son amour, mais l’autre homme n’a rien
répondu. Finalement, Il a pensé que rien n’allait se passer entre eux et il est
parti, triste, en laissant son numéro de portable sur la table. A ce
moment-là, l’autre homme a demandé aux autres personnes ce qu’il avait dit,
parce qu’il ne comprenait pas du tout le français, et après il est sorti à toute
vitesse.
La troisième histoire se passe
dans un hôpital. Une mère a accouché d’un enfant, mais en même temps, elle
s’occupait de l’enfant de son employeuse. Elle a chanté la même chanson pour
cajoler les enfants.
Ce film se compose de dix-huit
histoires. En résumé, c’est facile de penser que toutes les histoires sont distinctes,
comme les trois histoires mentionnées ci-dessus, mais en fait toutes ces histoires, comme l’amour entre
les amoureux de la première histoire, l’amour homosexuel dans la deuxième, et l’amour d’une mère dans la troisième, se passent dans le monde chaque jour. Elles sont ordinaires mais
essentielles.
ZHUN
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